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Il est sous mon lit et il me tient compagnie.

28 septembre 2009

il est minuit trente et j'emmerde mon anglais (:

Laculotteroseestsignederebelion

J'ai cette désagréable impression. Encore.

Je suis bien chez moi, dans ma chambre, devant mon ordi, mais je ne me sens pas chez moi.

Je ne sais pas. Comme toujours.

Ce week-end est passé trop vite. Samedi, j'ai trop cuisiné à mon goût, les invités sont arrivés trop tard, l'ambiance était pas si géniale que ça, et j'aurais aimé autre chose. Au final, on avait trop fait à manger (tu parle d'une surprise, j'le savais dès le début) et c'était trop court et trop long à la fois (en fait, j'aurais préféré faire ça un midi) et y'avait trop de vaisselle (devinez qui s'est tout fait dimanche apreeem, hein hein ? ooooh, mais ce sont mes mains magiques ! tss.) et puis ça me rapellait trop cet été, à tel point que j'avais envie d'y retourner, de repartir, et de plus revenir. Et puis j'étais assise à la table "des enfants", alors que c'était mes 18ans, logique, hein ? Du coup, j'étais en face du gamin le plus insupportable de toute ma famille, et j'avais mon frère à ma droite. Merci maman, mais la prochaine fois, ... y'aura pas de prochaine fois (:

Et dimanche... En fait, mon dimanche avait déjà été bien entamé, puisque j'm'étais couchée vers 3h du matin. Et puis, il a vraiment commencé à 13h12. A partir de là, quand j'me suis réveillée et qu'j'ai vus l'heure qu'il était, j'ai tout de suite compris que c'était soit la vaisselle et le ménage, soit les devoirs. Bien sur, les gens normalement constitués auraient sans doute pus faire les deux en un après-midi, mais moi non. Pas avec une vaisselle aussi monstrueuse O.o (y'avait quand même la vaiselle de samedi matin & midi + la vaisselle de toute la soirée (donc avec les plats dans lesquels on avait préparé et tout + toutes les assiettes, tous les couverts, tous les plats dans lesquels on avait mangé et présenté et tout le tintin) et la vaisselle de dimanche matin et midi) et puis baaaah "faut que tu fasse le ménage dans l'salon et dans ta chambre aussi hein, parce que c'est sal". Sans dec !

Donc voilà. Mon dimanche ne dura que l'après-midi, à nettoyer joyeusement la vaisselle de mes 18ans et a tout nettoyééé comme il faut. Genre comme la semaine dernière en fait. Genre comme si j'adorais faire ça de mes week-end. Cuisiner, tout préparer, sourire l'air de rien, dire merci, ranger, nettoyer, faire la vaiselle, et nettoyer encore.

Genre.

Et puis, dans l'histoire, mon frère, il est inexistant. Parce que "c'était pas mon anniversaire !" Waatchaa, quelle réponse digne d'un grand frère de 22 ans qui fout rien de sa vie et qui s'inscrit à la fac parce qu'il sait pas quoi faire d'autre et parce que bosser ça l'interesse pas.

"Nan mais tu comprend, il avait prévus de sortir samedi, et il est resté pour toi."

Bah, déjà, j'en savais rien. S'il voulait sortir, il avait qu'a sortir, on aurait eu moins de bouffe à préparer. Et ça l'empêchait pas d'aider avant et après. Enfin, apparemment, si.

... Mais bon.

Ca m'énerve d'être comme ça, de critiquer mon frère, alors qu'il a rien fait (j'crois qu'justement c'est pour ça qu'j'le critique !) parce que, le pauvre, il est dans une phase très difficile de sa vie là, en ce moment. Si si, depuis heeeeeu... 4 ans a peu près, il est dans une phase compliquée. Bah oui, maintenant qu'il a eu son Bac sans le vouloir, il sait plus quoi foutre, du coup, il fait rien, du coup, ça fait des cacas nerveux de pôpa et môman, et du coup, c'est "difficile pour lui, tu comprend".

Ben non, j'comprend pas.

S'il veut pas faire d'études, qu'il aille se chercher un boulot. S'il veut pas se chercher de boulot, qu'il aille continuer des études. S'il sait pas quoi faire de sa vie, qu'il aille faire des recherches au CIO, sur internet, ou à pétaouchnok ! S'il sait toujours pas ce qu'il veut faire, qu'il aille chez un oncle ou une tante, qu'il aille au Luxembourg, en Angleterre, en Allemagne ou même aux USA à Los Angeles. On a de la famille partout là-bas, et ils ont tous dis qu'ils nous accepteraient les bras ouverts. Et s'il veut pas aller à l'étranger, qu'il aille en Lozère dans la ferme de G, ou à Besançon dans la maison en travaux de P&A, ou encore près d'Albi dans la Maison des Tournesols constamment en travaux. Ils diront tous oui, ils sont tous ouverts.

Mais putain, les options, y'en a des tas. Mais qu'il reste pas planter dans sa chambre devant son ordi 24h/24 à jouer à  ce putain de WOW.

Aaaaah ben noooon ! J'vous ai pas diiiiiis ! IL A PRIS UNE DESICION ! (en fait, il a pas eu vraiment le choix) Il s'est réinscrit à la FAC ! Oui oui ! Et pour faire quoiiii ? PSYCHOOO !

Parfaitement.

Mon frère, qui ne sait pas travailler de lui-même et qui a besoin d'un encadrement, retourne à la Fac.

Et pour faire psycho.

Comme maman.

Juste pour un an.

"Pour qu'après il puisse s'inscrire pour faire ce qu'il veut vraiment faire !"

C'est à dire, Educateur de Jeunes Enfants, métier que tout le monde a décidé de lui accordé, alors qu'il a juste trouvé cette idée plus ou moins interessante.

Donc voilà. Mon frère va aller faire de la psycho pendant un an pour préparer ensuite un concours pour entrer dans une école et faire ce qu'on veut qu'il fasse.

Waow.

Et après on se demande pourquoi j'ai envie de me tirer de chez moi alors que j'viens d'avoir 18 piges ?

Mais parce que moi, j'veux pas qu'on décide pour moi. Je veux plus.

Pour arrêter de parler de choses déprimantes, j'ai donc pas fais mon anglais. J'ai donc pas fais mon DM, ni ma petite expo, et j'ai pas révisé pour le contrôle. Mais je ne peux rejetter la faute que sur moi-même, puisque je n'avais qu'à savoir m'organiser, ce que, soit dit en passant, je n'ai jamais su faire.

A part ça, j'ai bien envie de me tirer une balle. Juste comme ça. Juste pour le fun.

mouarfenvied_metireruneballe

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25 septembre 2009

Envie du soir

couturementvotre

Cela me prend comme ça.

J'ai envie de coudre.

Pourvus que cette envie soit assez forte pour me donner le courage de m'acheter le matériel pour coudre, et pour, peut-être, pourquoi pas ?, demander une machine à coudre à Noël.

Parce que je me souviens qu'avoir customisé le t-shirt pour les 18ans d'Emi, ça m'avait vraiment charmé <3 Comme si c'était une sorte de... "passion" que j'me découvrais !

Je regrette de l'avoir laisser de côté si longtemps.

Et plus j'y pense, plus je me dis: "Et si c'était la couture la réponse ?"

Parce que, quand je vois  tout ce qu'on peut faire avec la couture, ça m'donne envie d'faire ça toute ma vie. Et j'suis sérieuse.

J'aimerais commencer par customer des vieux vêtements ou de simples t-shirts, en arranger d'autres, rajouter des pièces, faire des sacs... Puis j'aimerais pouvoir faire des écharpes, des pulls, des gants en laine au crochet, faire de la broderie... Et je rêve de pouvoir créer mes popres vêtements: vestes, t-shirts, jupes, robes... <3

Et j'aimerais tellement pouvoir me faire une couverture en patchwork *__* Haaaaaaan mieux, un sac à main en patchwork *_* (j'viens de voir que ça existait en plus ! > j'ai eu l'idée avant d'savoir que ça existait hein (a) ) ...En y reflechissant un peu, on peut tout faire en patchwork: robes, jupes, pulls, même t-shirts, coussins, vestes,...

Putain, ça me donne des idées de ouf, et ça me donne trop envie >< 

24 septembre 2009

Quand on en reparle *

conversMSN

"Que c'était pas des vrais amis"

J'ai pas envie d'y penser.

Par contre, moi je sais très bien que si elles m'avaient consolé à ce moment-là, ça n'aurait rien changé pour la suite.

Marre de découvrir chaque jour un peu plus qui sont les vrais amis.

Et c'est parfois de trop grosse suprise douloureuse.

M, sale con.

24 septembre 2009

L'incertitude vient du gant.

l_incertudepeutvenird_ungantblanc

C'est étrange. Cette sensation de ne pas se sentir chez soi. Cette sensation d'avoir fait le mauvais choix. Cette drôle de sensation que je pensais avoir quitté pour de bon.

Cette sensation de déjà vu; de répétition; de vie morose.

"J'y travaille" ... encore. Mais doit-on vraiment y travailler ?

" On ne devrait pas avoir à travailler une relation, elle devrait se faire toute seule. "

Je ne sais pas. Je ne sais plus. Tout semblait si certain, et puis tout a été bousculé. Mais j'aurais du m'en douter. Dès le début cela ne collait pas. Ce n'était pas moi. Du moins, pas celle que je voulais, pas celle qu'il fallait.

. Et c'est là que tout devient moins rose . "L'incertitude vient du gant" et du monstre . Envie de retourner en arrière, de faire demi-tour, de choisir la facilité, d'aller là où j'me sentais vraiment chez moi, là où c'est encore tout chaud tout beau . En manque de courage .

* Wanda Boby est morte. Elle avait survécu aux Kooks et à Deep Purple à la fête de l'huma, dans une simple bouteille en plastique, mais apparement elle n'a pas apprécié la soirée samedi soir dans son grand bocal avec son petit pont. Elle était dépréssive et anorexique, on peut pas lui en vouloir, son père était un vrai connard infidèle et ses 4 mères de simples gamines hystériques et irresponsables. __ Va au paradis des poissons Wanda <3

RIP_Wanda

23 septembre 2009

" La pierre, croyons-nous, ne sait pas qu'elle réagit ", mais laisse-la tranquille c'te pierre Russel !

J'ai eu une journée assez complexe, et du coup, j'ai décidé d'passer par la philo pour l'oublier, histoire de passer à autre chose, et d'me mettre dans l'esprit philo (vus qu'j'ai raté deux heures lundi, qu'aujourd'hui j'ai eu deux heures mais j'ai pas trop écouté, et qu'demain j'ai encore deux heures... - non, je n'ai pas que de la philo, mais presque x) - )

Je me hatais d'avoir dans mes mains L'existentialisme est un humanisme de Sartre, car je me disais: "un livre d'un philosophe comme celui-là doit vraiment être interessant", mais j'avoue que, maintenant que j'ai lu un extrait de L'Etre et le néant du même auteur, je regarde L'existentialisme avec un autre oeil, et je crains de m'y perdre avant même d'avoir finis la première phrase.

" Si l'homme est ce qu'il est, la mauvaise foi est à tout jamais impossible et la franchise cesse d'être son idéal pour devenir son être ; mais l'homme est-il ce qu'il est et d'une manière générale, comment peut-on être ce qu'on est, lorsqu'on est comme conscience d'être ? " [Sartre]

Non seulement, il embrouille le lecteur de façon à ce qu'il soit forcé de relire sa phrase, mais en plus, quand on comprend, on est finalement pas sûr d'avoir vraiment compris. Selon Sartre, l'homme est une conscience. Tout ce qu'on a c'est une conscience. Nous sommes conscience. Et nous n'avons donc pas de nature, pas de "dedans".

Cela confirme donc un autre élément de mon cours, où nous nous sommes posée la question "Avons-nous une nature ?", Sartre y répond, catégoriquement. Selon lui, nous avons juste une conscience, donc aucune nature. C'est assez poussé, vous ne trouvez pas ? C'est même trop poussé, à mon goût en tout cas.

Et cela pourrait confirmer la thèse de Descartes, qui dit que les êtres humains sont des êtres supérieurs, puisqu'ils ont une conscience, à la différence des animaux, qui n'en ont aucune.

Mais n'est-ce pas Russel, qui lui aussi dit que nous n'avons pas d'intérioté ? A la différence de Sartre, Russel pense que tout se passe au niveau physique et non mental. Et lui, à la différence de Descartes, il pense que même les objets, et donc sans doute les animaux, ont eux aussi des réactions.

" Si vous criez "Hé!" les gens se retournent, pas les pierres. [...] nous pouvons seulement dire que nous réagissons à des excitations ; les pierres en font autant, bien que les excitations auquelles elles réagissent soient moins nombreuses. Ainsi, en ce qui concerne la perception extérieure, la différence entre une pierre et nous n'est qu'une différence de degré. " [Russel]

Descartes aurait sans doute eut du mal à dialoguer sur l'excitation éventuelle des pierres, sachant qu'il considérait les animaux comme de simples machines.

Mais au fond, on s'en fout un peu, non ?

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22 septembre 2009

it was my eighteen years old's party

Pas besoin de me dire que certaines photos sont bizarres, floues, inutiles,... C'est un peu mon "style", et en plus de ça, c'était la première fois que j'utilisais autant mon appareil... Puis voilà, hein, les photos ont été choisies exprès pour l'article, y'en avait beaucoup d'autres, mais ici ça reste un blog, donc x)

Cliquer sur les photos pour les voir en plus grand (:

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21 septembre 2009

Intensément rose et nuageux, ce cerveau

Au fait.

Au cas où.

Histoire de.

Parce que bon, hein.

Faut l'savoir.

J'aime pas le rose.

Et ce depuis ma naissance. J'ai jamais aimé.

Mais là, j'sais pas. J'ai eu mon nouvel appareil photo pour mes 18ans, et il est rose, et il s'apelle Framboise (il ou elle, d'ailleurs, ça reste un appareil photo, qu'importe que ce soit une fille ou un mec). Et puis ça fait un moment que je sais que le monstre sous mon lit est rose. Bah oui, parce que j'aime pas le rose, alors mon monstre il est rose. Et pourtant, je l'aime ce monstre. Il m'aide à passer mes soirées et mes nuits plus tranquilles.

Même qu'on discute bien tout les deux, depuis un moment.

Moi la vache noire et blanche - grise et toutes les couleurs -, lui le monstre rose sans nom, moi sur mon lit et devant mon ordi, lui sous mon lit et derrière moi.

J'aime pas le rose, mais j'aime mon appareil photo et mon monstre, et leur couleur.

En fait, le rose et moi, c'est bien plus compliqué qu'on ne le croit.

21 septembre 2009

Ouverture, juste le temps de.

Un jour les idées fusent, et puis, le jour d’après, tout est partit en fumée. Et lorsqu’elles arrivent par milliers, elles se bousculent, pressées de monter jusqu’au cerveau pour en sortir sous forme d’ampoule, et éclairer le long chemin de la vie.
Mais c’est inutile, car quand elles fusent, aucun stylo n’est dans ma main, aucun bloc note n’est à porté, ni aucun autre moyen pour les écrire, ces idées de génie.

On dit qu’il faut se présenter, mais c’est vous les invités, ce serait donc plus à vous de le faire qu’à moi, vous ne croyez pas ?
Mais qu’importe.

Je suis de celle qui pense qu’il n’y a pas de sexe faible, mais seulement deux sexes opposés qui s‘attirent et se complètent. Bien que parfois, le courant ne passe pas.
Aussi je n’aime pas dire « les Hommes », car après tout, personne ne dit « les Femmes » pour parler de l’être humain en général.
J’ai en horreur les gens qui pensent que l’espèce humaine est réellement supérieure aux autres espèces, prenant les animaux pour de simples choses inutiles, sauf pour manger et aller au zoo.
J’ai, par principe, du respect pour mon aîné et mon prochain, quelque soit sa couleur, sa religion, son milieu social, son parti politique, sa vision des choses et du monde… Mais il ne faut pas abuser non plus, les racistes, pédophiles, homophobes, meurtriers, et autres sympathiques du genre, ne me plaisent pas, et j’aurais forcément plus du mal avec eux. Et pourtant, j’en ai dans ma famille, des racistes, des homophobes… J’avoue également avoir du mal avec un jeune de mon âge qui me sortira des idées toutes faites complètement d’un ancien temps sans raison aucune: « Pourquoi tu voudrais que je m’occupe de ces gens-là ? J’ai déjà bien trop à faire avec moi, ma famille, mes amis et mon pays. » Bah voyons. Et si tout le monde crève autour, tu t’en fous ? Bah oui, comme tout le monde quoi.
Je suis assez pessimiste, parce que l’optimisme, j’ai essayé, j’essaye encore, mais avouons-le, c’est pas donné à tout le monde.
J’ai parfois beaucoup plus de respect pour les animaux que pour certains êtres humains. Parce que lorsqu’on déclare la guerre à un pays juste parce qu’on l’a décidé, c’est tout simplement une envie de sang et de pouvoir. Parce que lorsqu’on traitre son prochain comme de la m*rd*, on ne mérite pas d’être élu. Parce que lorsqu’un homme dit quelque chose, fait son contraire, et rassure le reste en promettant d’arranger le tout, il ne devrait pas avoir une place aussi haut placé.
Non, je ne comprend pas la politique et ces hommes et femmes qu’on écoute en étant pour ou contre.

Je suis jeune, fraiche, fragile et lunatique. J’ai des envies, des idées et des croyances bien à moi, mais je reste très ouverte. Je suis une petite amoureuse de la littérature, adorant l’odeur d’un bon roman ou d’une nouvelle, dégustant les bouquins avec plaisir et rêvant de posséder plus tard une grande bibliothèque de choix.
L’art me passionne, m’intéresse, me fait rêver et vivre, et j’aime ça.
Les musées, c’est pas si ennuyant que ça quand on en comprend le sens.
La peinture, en dehors de certains classiques, c’est vraiment beau et les peintres ont toute mon admiration.
Le dessin, c’est tellement plus qu’un ou deux traits dans un sens et un troisième dans l’autre.
La sculpture, c’est magique. Tout comme la musique. Parce que « la musique, c’est du bruit qui pense », qui fait vibrer, frissonner et rêver.

La vie, c’est un long chemin tortueux, encore en construction, avec des tunnels, des passages piétons, des arrêts & stop, des voies rapide, des montagnes et rivières, des pubs Coca & des promotions Canal, des déchets et paysages détruits, des animaux en voie de disparition, des enfants esclaves et soldats, des femmes battues, des pères brisés, des handicapés mal-vus, des maladies mortelles, des mort-nés, des pourris, mais aussi et surtout des champs en fleur, des oiseaux en plein vol, des familles heureuses, des rires tout le long, des découvertes merveilleuses, des amoureux sur les bancs, des sourires inestimables, des souvenirs inoubliables et des instants magiques.
La vie, faut la vivre à fond, en sachant prendre son temps et profiter pleinement.
La vie, faut la mordre à pleine dent, en consultant quand même un dentiste.
La vie, c’est inédit.

La mort, faut l’attendre sans être impatient.
La mort, faut pas la craindre, mais l’accepter.
La mort, c’est trop tabou, trop mal-vu, trop oubliée. Il ne faut pas la mettre de côté.
Même si elle est douloureuse, la mort, il faut vivre avec.

Je suis encore une enfant, et j’ai envie de le rester. Les adultes subissent tellement leur vie. Ils vivent pour travailler, et non l’inverse. Ce sont tous des moutons. Et moi, les moutons, j’trouve ça con. Je suis encore une enfant, on me le dit, me le répète, me le reproche, mais je ne veux pas devenir une adulte.
Je ne veux pas avoir à me ranger parmi tout les autres, apprendre rapidement un métier, le faire toute ma vie péniblement, vivre avec les moyens du bord, me trouver un homme, me marier, faire des gosses, trouver une maison, faire le ménage, la vaisselle, la lessive, élever les gamins, leur faire à bouffer, m’engueuler avec mon mari, faire une dépression, me forcer à rester comme ça, finir par craquer et divorcer, me sentir soi-disant libre et aller attendre un chèque des parents, puis retourner travailler tous les matins, même le dimanche, même les jours fériés, même les jours de congés.

Non, j'veux pas.

...

...Ce sera tout ; pour le moment.

21 septembre 2009

Ceci dit ; 'venue chez le monstre rose et sa coloc' la vache

J'ai mis du temps. Mais j'y suis enfin.

L'envie était là depuis longtemps, mais je n'avais pas le courage. Ou je ne sais pas. Cela ne venait pas.

Mais là, c'est bon.

C'est ok, c'est good, it's time.

L sait - Poon, LL - ; 18 ans tout frais ; TL

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Il est sous mon lit et il me tient compagnie.
  • Il ne s'apelle pas, il est rasé de près, et mesure la taille qu'on veut. Il est caché tout le jour et ne montre le bout de son derrière que les nuits partiellement étoilées, quand le loup est de sortit, et la Princesse au château. C'est le monstre rose.
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